Prendre la rue Pierre Charron, depuis l'esplanade Bonnac, c'est déjà se retrouver avec une sensation étrange de surplomb de la ville.

C'est aussi être alerté par une excroissance d'acier corten en débord de la dernière maison de ville de la rue.

Et emballé par cette plante qui tombe du toit que l'on pressent aménagé.

Effectivement, une fois la placette atteinte, une toute autre façade se révèle dans sa puissante simplicité, dans sa force d'accroche à l'immeuble voisin qui la domine, dans sa centralité nouvelle.



Si la distribution des espaces -entièrement remaniés sur les trois niveaux- reste obscure derrière ce front d'acier corten rhabillant un pignon délaissé, la façade de pierre classique, les lignes d'assemblage des panneaux ainsi que le cadre semi-vitré posé comme en équilibre donnent quelques indications à notre imaginaire.

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Ailleurs en France, d'autre exemples de traitement de façade...